Le Figaro: « Pour transcender le blues »

Dimanche, pour réchauffer les coeurs résonneront […] le blues atypique du groupe Muddy Gurdy. Ce dernier compte parmi ses trois musiciens un joueur de vielle à roue, un instrument à cordes médiéval originaire du centre de la France, utilisé ici pour transcender le blues. Une soirée pour vivre la diversité de ce que peut offrir le blues, entre traditions et réinventions.

Dans Le Figaro, avant le concert de Muddy Gurdy ce dimanche 3 février à La Maroquinerie, à Paris.

« Trois musiciens magnifiques et un son énorme »

Masters of the Blues.

Les fascinants Muddy-Gurdy ce soir à La Maroquinerie. Trois musiciens magnifiques et un son énorme.

– Emmanuel Tellier, journaliste à Télérama

France Inter: « Un blues de transe, un blues de répétition »

Muddy Gurdy, c’est un groupe français, un trio auvergnat même. Il y a une vielle dans le groupe. Ils ont enregistré leur album dans le Mississippi. Et ils invitent ici le bluesman Cedric Burnside, que vous entendez chanter. Cedric Burnside, petit-fils d’un autre bluesman, RL, pour Robert Lee, Burnside. Et voilà Muddy Gurdy et Cedric Burnside réunis autour d’une certaine idée du Hill Country Blues, un blues de transe, un blues de répétition. Ils sont à l’affiche du festival Les Nuits de l’Alligator.

Matthieu Conquet a programmé une chanson de Muddy Gurdy dans son émission Interférences du samedi 2 février, avant le concert du groupe à La Maroquinerie, à Paris, le 3 février, à Stéréolux, à Nantes, le 5 février, et à L’Astrolabe, à Orléans, le 6 février, dans le cadre des Nuits de l’Alligator.

A écouter à partir de 58’50 »:

Les Temps du Blues: « projet très original »

En deuxième partie, pour la rubrique «En tournée», j’évoque le projet très original «Muddy-Gurdy» du groupe français Hypnotic Wheels (qui compte dans ses rangs un joueur de vielle à roue), réalisé sur les terres du Hill Country Blues dans le Mississippi.

Daniel Léon, Les Temps du Blues.

Cela commence à 6’40 »:

Teaser pour les Nuits de l’Alligator

Les Nuits de l’Alligator 2019, c’est une tournée six dates pour Muddy Gurdy:

Jeudi 31 janvier à La Sirène, à La Rochelle (17)

Vendredi 1er février au Rocher de Palmer à Cenon (33)

Samedi 2 février au 106 à Rouen (76)

Dimanche 3 février à La Maroquinerie à Paris (75)

Mardi 5 février à Stéréolux à Nantes (44)

Mercredi 6 février à L’Astrolabe à Orléans (45)

Voici le teaser, réalisé à partir de l’enregistrement live de « Goin’ Down South » en décembre 2018 à La Comédie, Scène Nationale de Clermont-Ferrand. Avec Gilles Chabenat à la vielle, Tia Gouttebel au chant et à la guitare et Marc Glomeau aux percussions. Enregistré et mixé par Pierre Bianchi. Réalisation Biscuit Productions. Label Vizztone.

Le Parisien: « Reconnaissance scénique largement méritée »

Sorti par un label américain, l’album du trio auvergnat Muddy Gurdy a reçu tous les honneurs, y compris au pays du blues. Et c’est normal: ce très bon disque, ils l’ont enregistré dans le Nord du Mississippi avec des légendes locales (Cedric Burnside, Shardé Thomas…), et surtout avec leur vielle à roue. Oui, leur vielle à roue. Muddy Gurdy invente la rencontre de deux traditions qui ont en commun la terre, le rythme, la transe, l’étincelle et aussi l’amour. Leur tournée aux Nuits de l’Alligator devrait leur apporter une reconnaissance scénique largement méritée.

Dans Le Parisien, avant le concert de Muddy Gurdy le 2 février au 106 à Rouen dans le cadre des Nuits de L’Alligator. 

 

« Inratable » selon Télérama

Inratable, la première soirée traverse à elle seule trois continents, avec J.P. Biméni, soulman anglais originaire du Burundi; Ann O’aro, nouvelle sensation abrasive et viscérale du maloya réunionnais; et le trio Muddy Gurdy, dont la vielle à roue a voyagé de l’Auvergne au Mississippi.

Anne Berthod, Télérama

« Un blues sale et percussif à faire tanguer le cœur »

Que du très, très bon pour cette unique nuit de blues parisienne, qui réunit le soulman anglais J.P. Bimeni, l’exilé du Burundi qui chante comme Charles Bradley; la Réunionnaise Ann O’Aro, poète créole grinçante, qui exorcise dans le maloya les violences du corps et les écorchements de l’âme; et, pour finir, le trio auvergnat Muddy Gurdy, qui a fait rouler sa vielle jusque dans le Deep South américain et nous revient avec un blues sale et percussif à faire tanguer le cœur.

Anne Berthod, dans le supplément Sortir Grand Paris, de Télérama

Télérama donne ffff à Muddy Gurdy!

Dans le sillage des frottements de la vielle française, on s’enfonce ainsi dans le Deep South américain, avec quelques « fils de » tels Cedric Burnside et Shardé Thomas. Capté dans son jus, dans les bars et les fermes, avec croassements, bruits d’orage et de bitume mouillé, ce blues percussif (des reprises) qui sent la bière et le foin coupé nous fait salement tanguer le cœur.

ffff. C’est la note donnée par Anne Berthod à Muddy Gurdy dans Télérama du 9 janvier.

Le trio, Gilles Chabenat à la vielle, Tia Gouttebel au chant et à la guitare et Marc Glomeau, aux choeurs et aux percussions, est plus motivé que jamais pour la tournée des Nuits de l’Alligator qui se profile: six dates à partir de fin janvier, qui les mèneront de La Rochelle à Orléans, en passant par Cenon, Rouen, Paris et Nantes.

Trois nouvelles mentions dans le palmarès 2018 de Soul Bag

La liste des mentions de Muddy Gurdy s’allonge dans les bests of 2018 selon Soul Bag.

Daniel Léon et Marc Loison ont choisi Muddy Gurdy dans leurs Révélations de l’année et Frédéric Adrian dans ses Albums de l’année.

Cela porte à 9 le nombre total de mentions de Muddy Gurdy dans le Palmarès 2018 du magazine spécialisé dans le blues, le rhythm’n’blues, la soul, le gospel, le funk et le zydeco, si l’on prend en compte les six premières annoncées en fin d’année.

Retrouvez le palmarès complet de la cinquième et dernière livraison du Palmarès 2018 dans Soul Bag.